Autres acteurs

Organisations ou personnages publiques :

  1. Administration de Montréal : Direction de l’urbanisme, Direction des transports
  2. Administration Provinciale
  3. Administration Fédérale
  4. Représentation Municipale : Valérie Plante, Robert Beaudry (Saint jacques) et Sophie mauzerolles(Sainte Marie) tous de Projet Montréal
  5. Représentation provinciale : Manon Massé de QS
  6. Représentation fédérale : Steven Guilbeau – Libéral – a remplacé Anne Laverdiére du NPD, qui ne se représentait pas
  7. les OBNL issu de la disparition de l’église catholique`ou du vide municipal
  8. La DSP (CIUSSS) de centre sud
  9. Les SDC ou CDC
  10. les promoteurs
  11. Les projets immobiliers au sud du quartier

Il faut avouer que la ville de Montréal est gérée comme une bureaucratie digne de l’ex-union soviétique, c’est le budget (la ligne du parti) qui définit les missions de la ville, et non pas le bien vivre des habitants. Toutes les procédures ou consultations publiques sont lancées alors que toutes les ddécisions sont déjà prises… Ces directions ne connaissent parfois même pas le quartier qui va être impacté par leurs études, et le politiques élus tous les 4 ans ne sont la que pour nous faire avaler la pilule dans le meilleur des cas ! Les grands projets immobiliers qui défigurent Montréal en sont un parfait exemple.Le lobbying des promoteurs, la course au financement des entreprises de la construction, l’argent facile, en sont certainement la cause . Peut être aussi parce que la majorité des fonctionnaires habite hors de Montréal ?

Cependant pour la vie de tous les jours c’est pareil Par exemple, le service au citoyen se résume au 311…cela nécessite beaucoup de patience pour celui qui est témoin d’une nuisance ou d’une incivilité , et n’apporte que très peu de résultats ! Nous sommes parfois écoutés, mais jamais entendu : toutes les démarches se soldent en général par un manque de résultat certain, et les moyens mis en œuvre semblent être exclusivement bureaucratiques. Le citoyen devient un mouton à tondre.

Les travaux qu’ils soient publics ou privées ( constructions de condos) sont prioritaires par rapport à la tranquillité ou la sécurité des habitants, et les commerçants en font les frais à chaque fois. Ainsi une rue peut être bloqué pendant plusieurs semaines sans précautions particulières, les ouvriers manœuvrant sans que le trottoir soit sécurisé par une barrière. La sécurité physique des personnes a risque comme les enfants ou les personnes âgées ne sont jamais pris en compte par l’administration. Les stationnements neutralisées nuisent à la fréquentation des commerçants des alentours. Appeler le 311, c’est un peu le chateau de Kafka…Tout devient absurde, les règles économiques standards se tordent, et le manque de respect du citoyen devient la norme. Nous arrivons a ce résultat paradoxal : la ville de Montréal se vide de ses habitants (en particulier les familles avec enfants) alors qu’on n’a jamais autant construit de condos.