Le problème avec un site d’injection mal géré, imposé à la population, c’est que la rue devient une salle d’attente, ou encore mieux une salle de détente post injection.
C’est aussi parfois, un lieu d’injections au vu et au su de tous les résidents de centre sud. Vendu par la Santé Publique comme une solution qui accueille des populations diverses même locale (!), c’est principalement une population nomade ou itinérante qui fréquente ce lieu.
Ce que nous répondent les usagers des drogues (99% ou plus sont itinérants avec pour certains des comportement de santé mentale) c’est qu’ils n’ont pas le choix d’agir ainsi
Ils vivent dans la rue, c’est très difficile pour eux, et en plus les résidents les repoussent car la cohabitation sur un même territoire est problématique en terme hygiénisme et sécurité, surtout quand ils laissent des seringues vides, potentiellement infectés, derrière eux dans la rue !