MENACES de MORT devant un SIS

Déchets toxiques

Un texte à venir suite à une tentative de dialogue avec le SIS ANONYME qui s’est conclu par la menace de mort de se faire trancher la gorge par un usager . Une plainte a été déposé. J’ai surtout le sentiment d’avoir été mené dans un traquenard, que le camion n’était pas la par hasard et que cet incident était prémédité vu l’attroupement qui était devant l’autre SIS fixe . Depuis le SIS ANONYME continue ses provocations vis a vis des acteurs économiques de la rue.

Il n’existe aucun organe de médiation

Ville Marie est le seul arrondissement de Montréal qui n’a pas de maire

Le conseiller du district SAINT JACQUES est un ancien dirigeant d’OBNL a vocation sociale

D’autant plus que le directeur général du SIS ANONYME à la date du 15 mars 2025 est absent pour une durée indéterminée, et que le service d’injection de ce site mobile est INDIQUE être ouvert de 22h30 à 5h du matin selon le CIUSS Centre-sud…

Que fait exactement le CIUSS Centre Sud qui a pour mission la sélection et la bonne gestion des SIS ?

C’est une 1er réponse. Mais que c’est léger comme réponse pour une question aussi cruciale pour la sécurité de tous !

Cela devient difficile d’être un commerçant dans le quartier centre sud !

On ne veut pas s’inviter dans le débat sur l’usage des drogues, mais on vous invite à voir cette série de reportages sur la chaine ARTE

Une autre politique pour les surdoses ?

Le problème, c’est que les décès par surdose continue d’augmenter chaque année malgré les politiques de santé mis en place, on reste cependant est loin des volumes de l’ouest canadien ou des USA.

Or la politique mis en place pour gérer ces surdoses à une très forte incidence sur le milieu de vie des résidents de Montréal . Pourquoi ? Car les impacts sociaux de TOUTES les autres parties concernés ( Police, Résidents, Commerçants, écoliers, pompiers, ambulanciers, etc..) ne sont pas qualifiés et encore moins quantifiés….

Par exemple, on sait par la santé publique que les interventions des 1ers répondants ont DÉCUPLÈ en 4 ans, quelle charge représente cette augmentation sur le réseau de santé ?

Idem pour la vérification des substances dans un site fixe ( c’est une mesure qui a été créé au départ pour les événements festifs), cela ne va t il pas créer un point de deal PERMANENT et quasiment OFFICIEL a proximité du SIS, le dealer venant faire vérifier sa dope avant de la vendre ?

Cette politique qui fonctionne peut être très bien en situation de crise, devient beaucoup plus difficile à mettre en œuvre sur de longues durées.

C’est comme le petit caillou dans la chaussure du randonneur, c’est supportable au début, mais ça devient vite un handicap contre productif….

Le SIS, un objet politique

On comprend mieux pourquoi les SIS cristallisent toutes les passions car :

Personne n’en veut dans sa cour…seuls quelques élus issus du monde de l’assistance sociale sont motivés et prêt a instrumentaliser les sous traitants de la santé publique…soit par calcul, soit par idéologie.

Ils sont le reflet de notre passivité pour ce qui touche à l’accès aux soins des plus démunies

L’économie de la drogue est omniprésente dans ce dispositif, puisque la dope ou son substitut n’est pas fourni

Personne n’y est soigné pour son addiction, c’est fait pour éviter les surdoses, pas pour éviter leur renouvellement.

Pourquoi les itinérants?

Ce sont surtout des incivilités, mais tellement quotidiennes, qu’elles en deviennent insupportables pour certains résidents d’un quartier normal , et qui se sentent tout seuls face à des marginaux qui finalement ne demandent pas a être aussi antipathiques !

En date du 1er juillet 2025, un article de radio-canada sur spectre de rue et ses alentours

Un Hyper centre sud beau et agréable à vivre pour tous

Une porte cochère à Montréal

quel devenir pour centre sud ?

c’est la question fondamentale qui se pose à nous quand on voit la richesse humaine et historique de notre quartier .

les acteurs
les acteurs de centre sud sont nombreux, mais lesquels sont légitimes pour participer à ce débat ? Est ce que ce sont qui y habitent ou ceux qui en tirent profit sans le faire vivre…

les dangers existants

la non gestion du comportement civique des usagers de la drogue, avec des individus bizarres qui viennent s’y agglomérer …

les travaux de la ville, présentés comme nécessaires pour notre confort, mais qui durent beaucoup trop longtemps (source de bruit, d’interdiction de stationner, de coupure d’eau et d’électricité, de présence de camions de chantier) .
la ville elle même qui remodele le milieu urbain avec des promoteurs immobiliers qui ceinture au sud de grands ensembles. A cela s’ajoute une politique de vie qui privilégie le tourisme ( pas encore dans notre


résultat : Les résidents ne se sentent pas respectés, et vivent mal ces grands moments d’éternité

les points forts de centre sud

notre bâti patrimonial dont l’ossature visible de tous est la belle porte cochère de centre sud

Notre habitat social ( logements sociaux, Coop, , autres, etc…) qui assure une mixité humaine incomparable

un grand nombre d’organismes communautaires, dont certains parfois dépassent largement leur mission originale …

une mixité propriétaires vs locataires qui fonctionne

de nombreux petits parcs pour les enfants, les sportifs et les propriétaires de chiens

Présence de prédateur sexuel rue Ontario ?

Comportement atypique

il y a quelques jours nous avons pu observer un individu qui avait un comportement atypique rue Ontario . Vous allez me dire qu’avec les usagers de drogue, nous avons beaucoup de comportement atypique dans notre quartier. D’ailleurs c’est quoi un comportement atypique ? un individu qui crie sans raison, ou qui circule en vélo sur le trottoir, ou qui s’injecte sur le trottoir des substances dans le corps, ou qui fume du crack ou etc etc…

Pas seulement, c’est aussi une personne qui n’a rien à faire là où il est. En l’occurrence ce type ne faisait rien de mal, il semblait pas méchant, il restait planté la, à observer on ne sait trop quoi, toujours dans la même direction, vers la rue de la Visitation

t-shirt de l’ASCCS

ce qui était curieux c’est qu’il portait des t-shirt noirs ou rouge, comme ceux que portent les animateurs du centre communautaire voisin. Un beau jour, il s’est rapproché physiquement de ce qu’il observait, il a regardé à travers les vitres de la maison soleil, un organisme qui aide à scolariser les enfants de milieux défavorisés issus de notre quartier.

Alors j’ai pris mon courage à 2 mains, et je suis allé vers lui. Je lui ai demandé ce qu’il faisait la dans la rue, si il avait un soucis particulier et si je pouvais l’aider . Il me répondait à chaque fois que tout était correct . Je lui ai dit que nous étions très attentifs à nos enfants, et que nous y faisions attention. Il n’a rien dit et il est parti.

je ne l’ai plus revu après cela

j’en ai parlé avec une responsable de la maison soleil, elle l’avait aussi remarqué et nous avons décidé ensemble de faire plus attention.

Projet extension SIS Spectre de rue

Article en cours

La rumeur

Les rumeurs couraient dans le quartier depuis un moment : Le SIS spectre de rue allait compléter son offre d’injection des drogues par une offre d’inhalation des drogues augmentant ainsi sa fréquentation ! Le déménagement de TAPAJ dans le nouveau bâtiment construit spécialement pour eux un peu plus à l’ouest , à côté de la brasserie du cheval blanc libérait déjà de l’espace.

On se disait que non, il n’allait pas accroître la fréquentation d’usagers de drogues dans un quartier résidentiel, près des commerces, des écoles et du centre communautaires ! Et bien si, la santé publique persiste dans sa politique inepte, malgré toutes les critiques que ce SIS accumule depuis plus de 8 ans .

C’est vraiment une terrible nouvelle pour le quartier .

c’est encore pire que ce qu’on s’imaginait, puisque c’est une nouvelle construction ( mais avec la plantation d’un arbre dans le tout petit espace qui restera…, cela répond à la stratégie Montréal 2030 ! ) payée par nos sous de la santé publique qui est prévu !

Site d’inhalation de drogues

Et bien c’est officiel depuis le dernier conseil d’arrondissement, une demande d’exemption au réglement d’urbanisme a été accordé par nos élus pour construire dans la cour arrière un batiment pouvant accueillir des fumeurs de crack dans un milieu résidentiel.

Pas d’issue de secours

Valerie Plante à présenté cela comme une extension, ce qui évite un certain nombre de problème réglementaire comme celle de l’issue de secours dans la cour arrière qui débouchera sur un mur !

Avenue LALONDE : Les travaux d’embellissement débutent en fanfare

travaux avenue lalonde

Ce n’est que le début….

On vous a déjà parlé de la réunion citoyenne sur la transformation de l’avenue Lalonde, on nous avait promis 2 mois de travaux , et bien ce sera 4 mois, ce n’est jamais que le double, et pour une toute petite rue …

Impacts des travaux avenue Lalonde sur les rues avoisinantes

Rues barrés et stationnements réduits : aux résidents et visiteurs de se débrouiller !

Coupures d’électricité

Suite alerte au gaz due aux travaux (?), coupure de 11h45 à 16h45 le jeudi 03 juillet, les pompiers sont venus stationner rue de la visitation pendant et après le rétablissement du service par HQ.

Coupure d’eau

Le 07 juillet toute la journée dans le voisinage . Le rétablissement de l’eau par les services municipaux (?) a provoqué un coup de bélier dans tous les tuyaux des alentours : l’USINE C a eu une rupture de canalisation, et notre lave vaisselle est hors service…

Dégâts collatéraux divers

15 juillet 2025 – Un voisin a vu toute ses plates bandes détruites par le passage d’un camion de chantier.Un courriel a été envoyé le 17 juillet à Robert Beaudry, le conseiller du district Saint Jacques dans Ville Marie

Toute cette énumération a un but

Informer sur ce qu’il se passe vraiment pendant des travaux de longue durée, car cela a un impact énorme sur notre vie de quartier, tout en étant sous estimé par la Construction et la municipalité de Montréal. (La Construction avec un grand C est une entité floue non définie, composée d’engins de terrassement pilotés par des individus qui ont des grosses chaussures…)

Hyper-Centre SUD

Cela va nous permettre de parler du devenir du quartier vu par ses résidents, et du concept d’hyper CENTRE-SUD que la ville de Montréal nous prépare, a l’instar d’autres villes touristiques dans le monde.

Le SIS, nouvelle église ou simple piquerie d’état ?

L’église catholique au Québec a longtemps rayonné, accompagnant les colons francophones sous le joug anglais, favorisant les familles nombreuses jusqu’à 10 enfants et plus. Et puis un beau jour du printemps 1967, toutes les églises se sont vidées, et seule une minorité de croyants subsistent aujourd’hui. La hiérarchie catholique est exsangue, vieillissante et a été coupable de tant d’abus qu’elle n’est plus respecté. Il lui reste un parc foncier conséquent.

Cependant l’église n’existait pas que pour dire la messe le dimanche, elle avait aussi des missions, dont les soins de santé et l’assistance aux plus démunis. Or la nature a horreur du vide, et ces missions il a bien fallu que des nouvelles organisations (dont les SIS ou site d’injection supervisé) les assument.

La santé publique ou CIUSS

Pour les soins, c’est la santé publique de nos jours, avec le concours de la médecine hospitalière. Pour l’assistance aux plus faibles, c’est aussi la santé publique, mais comme donneur d’ordre. L’originalité de cette assistance c’est qu’elle est sous traité à des OBNL, qui sont des associations a but non lucratif, et dont la mission est inscrit dans leurs statuts.

La ville de Montréal

Complétement dépassée par le événements lié à l’économie de la drogue, elle approuve toutes les décisions de la santé publique, au mépris de la sécurité et des conditions de vie des résidents voisins des SIS, alors que les règles élémentaires d’hygiène ne sont même plus respectées. Elle en est à approuver des aménagements dans les SIS pour y établir des sites d’inhalation, concentrant davantage d’usagers des drogues, et favorisant des rejets de substance dans l’atmosphère.

SIS ou site d’injection supervisé

Le SIS, c’est un site d’injection . Le personnel assiste les usagers de drogues. Sa mission est d’éviter les overdoses, afin de faire baisser les statistiques de mortalité .

Dans le cas des SIS, la santé publique de Montréal s’est appuyé sur des OBNL existantes , qui travaillaient sur la non transmission du virus du SIDA, la récupération de seringues ou la population itinérante.

Changement de mission

La plupart des ces OBNL étaient en perte de vitesse car situées dans des quartier dont la population avaient beaucoup changé. Or la santé publique n’a pas eu d’autre choix que de créer des SIS, car c’était une décision politique nationale, d’autres provinces avaient déjà commencé, en particulier la CB. Elle n’a pas eu le choix non plus des OBNL, elle a pris les 2 ou 3 qui étaient volontaires il y a 8 ans au Québec, en fermant les yeux sur les questions de sécurité ou de cohabitation avec les résidents , sans aucune concertation avec la population.

Les élus locaux de Montréal sont pour la plupart issu de ce monde de l’assistance sociale.Ils ont favorisé ce changement de mission des OBNL pour des raisons électoralistes, et la communication du parti libéral du Canada,qui a fait voter cette exemption à la loi fédérale, a fait le reste .

Elle a payé la réfection des locaux des OBNL, et assure maintenant financièrement une partie des subventions (puisque par définition, ces OBNL ne font pas payer leurs prestations)

Le Fentanyl, Opium du peuple

Et voila comment finalement, et pour paraphraser Marx – la religion c’est l’opium du peuple – on reconstitue une nouvelle église dont l’Opium ou ses dérivées comme le Fentanyl, est la seule religion !

Comment attraper les rats féroces de Montréal

Que les âmes sensibles s’abstiennent de lire cet article ! Il concerne une population historique, méconnue, souterraine presque tabou des villes, celle des rats… !

Compétiteur féroce de l’être humain, il partage avec lui beaucoup de points communs, mais bon, vous nous connaissez nous ne sommes pas la pour parler philosophie…

Nous nous bornerons a résumer les ravages de cette bébette, et à énumérer les moyens de réguler ce fléau (faut pas rêver, éradiquer, c’est pas pour demain)

Pourquoi des rats à Montréal ?

Les rats sont partout présents avec l’Homme, en pils se nourrissent de nos déchets et vivent dans des milieux humides et souterrains comme les égouts, a l’instar du rat brun de Norvège, espèce la plus commune à Montréal. Il est admis que les rats sont dérangés par les nombreux travaux souterrains gérés par la ville de Montréal, et se propagent dans les bâtisses par les drains de collecte brisés ou non pourvus de clapet.

Les ravages des rats

C’est surtout dans les commerces alimentaires qu’ils vont se nourrir, en particulier dans les stocks protégés ou non, en sous sol ou aux étages. Les rats sont capable de ronger un carton en quelques secondes, ou une caisse en plastique en quelques minutes, et il faut ensuite tout jeter pour des raisons d’hygiènes . Difficile de conserver 20 poches de farines ou des caisses de chocolat, je ne vous parle pas des noix de Grenoble, dans ces conditions !

Régulation des rats?

Tout d’abord, il faut rappeler qu’il est difficile de mettre en place un système de régulation sans indicateurs statistiques. Or peu de chiffres sont disponibles : Montréal ne semble avoir aucune étude scientifique sur le sujet, aucune cartographie précise par quartier, et surtout l’administration compétente sur ce sujet ne semble pas exister. Un peu comme d’autres populations, c’est un moyen pour la ville d’exister en faisant du blabla sans résoudre quoi que ce soit.

La ville de Montréal

Avec eux, c’est assez simple, voir rats et rongeurs à Montréal .

Pour résumer, Espace public = 311, Résidences ou commerces = propriétaires qui appellent des exterminateurs.

Déjà, on comprend pourquoi il y a autant de rats, puisque la responsabilité est partagée sans aucune coordination !

Il est généralement admis que la présence des rats est facilité par un drain d’égout brisé, ou d’ancien drain d’égout non bouché efficacement.

Les exterminateurs

Ils sont incontournables, car la ville refuse d’endosser la mondre responsabilité sur un terrain privé, comme si les rats ne se déplacaient pas…

Ils apportent des moyens : poisons ou trappes, mais pour le résultat c’est juste une garantie de conseil (genre : boucher les trous dans un mur ou fermer sa poubelle) . On se méfie a raison ce certains d’entre eux, qui vivent sur le dos de la bébette…

La MAPAQ

Elle constate les dégâts, et vous dis de boucher les trous et mettre la nourriture dans des boites

PAR soi même

C’est une des solutions la plus efficace ! Encore faut il choisir le bon appât ( du beurre de peanut ou d’une noix quelconque) , savoir armer une trappe piège ressort (marque VICTOR) sans se prendre la tape sur les doigts, puis choisir un emplacement judicieux. Positionner plusieurs trappes dans chaque coin de la piéce

Il faut ensuite penser à vérifier chaque jour si cela a fonctionné, il nous est arrivé en temps de crise d’en attraper 6 dans six trappes différentes en 1 seule journée.

Bonne chasse !

Suppression stationnement

Signalisations surgies de terre

Exemple d’une norme urbaine : le coin de rue

A Montréal, tous les poins de rue doivent être dégagés pour le stationnement ET pour l’arrêt sur une longueur de 2 voitures a peu prés (5m) . C’est censé dégager la visibilité lorsque un véhicule tourne ET empêcher une marche arrière du véhicule qui recule vers le coins pour se dégager du stationnement. Cela afin d’assurer la sécurité des piétons qui veulent traverser en dehors des passages piétons… ET a Montréal, il y a beaucoup de coins de rue !

Nous allons bien entendu commencer par démontrer l’absurdité d’appliquer cette régle à tous les coins de rue, avec un contre exemple . On le voit bien sur les 2 photos du haut

Une rue a sens unique qui croise une autre rue à sens unique – les panneaux d’arrêt ne servent a rien puisque aucun véhicule venu des 2 rues ne peut tourner au coin ou reculer vers le coin dégagé …

règlement sur la circulation et le stationnement

Complexité du stationnement

Cela devient compliqué pour les résidents qui ont une voiture mais pas de garage ! Cela signifie t il que chaque condo devra avoir une place pour son char, et que toute les habitations sans stationnement devront disparaitre ? Avec tous les travaux qui ont lieu, ça ne facilite pas la vie des résidents et des acteurs économique de centre Sud

De plus l’avenue LALONDE est planifié pour rénovation cet été, avec comme objectif la suppression des places de voiture de chaque coté de la rue. Certes, ce sera peut être plus joli autour de l’USINE C, mais pour venir en voiture, ce sera bientôt le centre ville de Paris !

Stationnement à Paris

Impacts

Il faudra bien un jour se poser la question des impacts sur les résidents, les visiteurs, les travailleurs et les acteurs économiques et culturels

Rencontre : Emmanuel LAPIERRE du BQ

un livre sur les coqs ?

Nous avions parlé des élections fédérales avec Steven Guilbeaut, Nima Machouf et Emmanuel Lapierre, voici quelques temps sur un post d’actualités.

ET bien, ça n’a pas tardé, nous avons pu rencontrer un candidat en personne dans notre quartier de CENTRE-SUD : c’est à dire, Emmanuel LAPIERRE, candidat du Bloc Québecois, pour la circonscription de Laurier-Sainte Marie.

Tout d’abord, je dois vous dire que nous ne sommes pas la pour faire la publicité d’un programme. C’est l’humain qui nous intéresse. Cela tombe bien car Emmanuel LAPIERRE est une personne extrêmement sympathique, pas du genre à vous faire sentir mal à l’aise. On est tombé sous le charme, en plus il fait du vélo, été comme hiver, mais avec des pneus à clous

Ce n’est pas un politicien, ou une personnalité publique, c’est un vrai pti’cul de Montréal qui s’est engagé dans cette campagne à la demande du chef du bloc YF Blanchet, et a pris un temps de réflexion avant de dire oui.

Une campagne électorale ce n’est pas rien, la lutte sera féroce, pleine de grandeurs, mais aussi de bassesses – je n’avais jamais autant de S, pas bon pour un scrabble ça !

Nous avons pu évoquer beaucoup de sujets qui concernent la politique fédérale :

  • Les filières nationales de formation à la gestion des entreprises autonomes. Notre but estde pouvoir créer et maintenir un réseau de proximité pour la production locale et la vente aux particuliers dans la rue Ontario
  • L’accès à une nourriture de qualité et variée fournie par une agriculture financé par le fédéral. Grace aussi à des réseau de transformation et de distribution agro-alimentaire qui seraient soutenus au niveau national et provincial.
  • La conservation des habitats historiques, en particulier dans notre quartier de CENTRE-SUD, les maisons avec portes cochères.
  • La gestion de l’itinérance par des outils nationaux qui prennent en compte les impacts sur les lieux où s’installent des sites d’injection ou d’hébergement, trés nombreux dans CENTRE-SUD

Un sacré challenge pour un gars d’Hochelaga Maisonneuve !

Ah, faut que je vous dise un truc, il connait l’oeuvre de Marcel GOTLIB, le créateur de la Rubrique A Brac et de fluide Glacial ce n’est vraiment pas commun.

Squat dans la caserne BEAUDRY?

La caserne BEAUDRY est une ex-caserne des pompiers de Montréal, situé à l’angle Beaudry/Ontario. C’est un bâtiment public qui appartient à la ville de Montréal, et qui n’est plus occupé depuis quelques années.

Qui est BEAUDRY ?

Jean-louis Beaudry a été maire de Montréal de 1862 à 1866, de 1877 à 1879 et de 1881 à 1885. Issu du peuple rural québecois, c’est d’abord un homme d’affaires qui s’établit à Montréal en 1834 comme entrepreneur.
Mais c’est surtout un homme politique proche du mouvements des patriotes ( il sera amnistié au bon moment) qui aura une certaine influence au niveau municipal et dans notre quartier saint jacques car il en sera échevin avant de devenir maire de Montréal . Il sera , entre autre, à l’origine du développement des casernes de pompiers de Montréal.
Une rue, un parc, une ex-caserne de pompiers à l’abandon depuis des années, portent son nom. Nous y reviendrons .
Son parcours est intéressant car il montre bien a quel point le pouvoir politique a cette époque est dans les mains des entrepreneurs : commerçants, industriels ou artisans. Ceux ci développent la ville sur des terres autres fois agricoles, et cette nouvelle élite urbaine a remplacé celle des propriétaires terriens.

Raison d’un échec

Comme écrit dans un article de radio canada , c’est apparemment très cher de la rénover a cause des règles sismiques. Ron Rayside le dit joliment, qui a son cabinet d’architecture juste en face, c’est une cloche de complexité !

C’est bien beau, mais pendant ce temps le bâtiment se délabre de plus en plus…

La Caserne Beaudry poursuit sa chute : risque d’incendie !

La caserne BEAUDRY semble être devenu un SQUAT ou une piquerie , il y a même de la lumière à l’intérieur ! Pour information, la caserne BEAUDRY est située à quelques mètres d’un site d’injection supervisé qui attire de nombreux dealers. Les usagers utilise un briquet, des allumettes ou même un foyer parfois, pour allumer leur pipe à CRACK ou faire chauffer des doses d’héroines…

C’est devenu CHAUD bouillant en quelques semaines dans CENTRE SUD. !!!!!

Démantèlement en cours le 04 mars

A suivre