














Que les âmes sensibles s’abstiennent de lire cet article ! Il concerne une population historique, méconnue, souterraine presque tabou des villes, celle des rats… !
Compétiteur féroce de l’être humain, il partage avec lui beaucoup de points communs, mais bon, vous nous connaissez nous ne sommes pas la pour parler philosophie…
Nous nous bornerons a résumer les ravages de cette bébette, et à énumérer les moyens de réguler ce fléau (faut pas rêver, éradiquer, c’est pas pour demain)
Les rats sont partout présents avec l’Homme, en pils se nourrissent de nos déchets et vivent dans des milieux humides et souterrains comme les égouts, a l’instar du rat brun de Norvège, espèce la plus commune à Montréal. Il est admis que les rats sont dérangés par les nombreux travaux souterrains gérés par la ville de Montréal, et se propagent dans les bâtisses par les drains de collecte brisés ou non pourvus de clapet.
C’est surtout dans les commerces alimentaires qu’ils vont se nourrir, en particulier dans les stocks protégés ou non, en sous sol ou aux étages. Les rats sont capable de ronger un carton en quelques secondes, ou une caisse en plastique en quelques minutes, et il faut ensuite tout jeter pour des raisons d’hygiènes . Difficile de conserver 20 poches de farines ou des caisses de chocolat, je ne vous parle pas des noix de Grenoble, dans ces conditions !
Tout d’abord, il faut rappeler qu’il est difficile de mettre en place un système de régulation sans indicateurs statistiques. Or peu de chiffres sont disponibles : Montréal ne semble avoir aucune étude scientifique sur le sujet, aucune cartographie précise par quartier, et surtout l’administration compétente sur ce sujet ne semble pas exister. Un peu comme d’autres populations, c’est un moyen pour la ville d’exister en faisant du blabla sans résoudre quoi que ce soit.
Avec eux, c’est assez simple, voir rats et rongeurs à Montréal .
Pour résumer, Espace public = 311, Résidences ou commerces = propriétaires qui appellent des exterminateurs.
Déjà, on comprend pourquoi il y a autant de rats, puisque la responsabilité est partagée sans aucune coordination !
Il est généralement admis que la présence des rats est facilité par un drain d’égout brisé, ou d’ancien drain d’égout non bouché efficacement.
Ils sont incontournables, car la ville refuse d’endosser la mondre responsabilité sur un terrain privé, comme si les rats ne se déplacaient pas…
Ils apportent des moyens : poisons ou trappes, mais pour le résultat c’est juste une garantie de conseil (genre : boucher les trous dans un mur ou fermer sa poubelle) . On se méfie a raison ce certains d’entre eux, qui vivent sur le dos de la bébette…
Elle constate les dégâts, et vous dis de boucher les trous et mettre la nourriture dans des boites
C’est une des solutions la plus efficace ! Encore faut il choisir le bon appât ( du beurre de peanut ou d’une noix quelconque) , savoir armer une trappe piège ressort (marque VICTOR) sans se prendre la tape sur les doigts, puis choisir un emplacement judicieux. Positionner plusieurs trappes dans chaque coin de la piéce
Il faut ensuite penser à vérifier chaque jour si cela a fonctionné, il nous est arrivé en temps de crise d’en attraper 6 dans six trappes différentes en 1 seule journée.
Bonne chasse !
A Montréal, tous les poins de rue doivent être dégagés pour le stationnement ET pour l’arrêt sur une longueur de 2 voitures a peu prés (5m) . C’est censé dégager la visibilité lorsque un véhicule tourne ET empêcher une marche arrière du véhicule qui recule vers le coins pour se dégager du stationnement. Cela afin d’assurer la sécurité des piétons qui veulent traverser en dehors des passages piétons… ET a Montréal, il y a beaucoup de coins de rue !
Nous allons bien entendu commencer par démontrer l’absurdité d’appliquer cette régle à tous les coins de rue, avec un contre exemple . On le voit bien sur les 2 photos du haut
Une rue a sens unique qui croise une autre rue à sens unique – les panneaux d’arrêt ne servent a rien puisque aucun véhicule venu des 2 rues ne peut tourner au coin ou reculer vers le coin dégagé …
règlement sur la circulation et le stationnement
Cela devient compliqué pour les résidents qui ont une voiture mais pas de garage ! Cela signifie t il que chaque condo devra avoir une place pour son char, et que toute les habitations sans stationnement devront disparaitre ? Avec tous les travaux qui ont lieu, ça ne facilite pas la vie des résidents et des acteurs économique de centre Sud
De plus l’avenue LALONDE est planifié pour rénovation cet été, avec comme objectif la suppression des places de voiture de chaque coté de la rue. Certes, ce sera peut être plus joli autour de l’USINE C, mais pour venir en voiture, ce sera bientôt le centre ville de Paris !
Il faudra bien un jour se poser la question des impacts sur les résidents, les visiteurs, les travailleurs et les acteurs économiques et culturels
Nous avions parlé des élections fédérales avec Steven Guilbeaut, Nima Machouf et Emmanuel Lapierre, voici quelques temps sur un post d’actualités.
ET bien, ça n’a pas tardé, nous avons pu rencontrer un candidat en personne dans notre quartier de CENTRE-SUD : c’est à dire, Emmanuel LAPIERRE, candidat du Bloc Québecois, pour la circonscription de Laurier-Sainte Marie.
Tout d’abord, je dois vous dire que nous ne sommes pas la pour faire la publicité d’un programme. C’est l’humain qui nous intéresse. Cela tombe bien car Emmanuel LAPIERRE est une personne extrêmement sympathique, pas du genre à vous faire sentir mal à l’aise. On est tombé sous le charme, en plus il fait du vélo, été comme hiver, mais avec des pneus à clous
Ce n’est pas un politicien, ou une personnalité publique, c’est un vrai pti’cul de Montréal qui s’est engagé dans cette campagne à la demande du chef du bloc YF Blanchet, et a pris un temps de réflexion avant de dire oui.
Une campagne électorale ce n’est pas rien, la lutte sera féroce, pleine de grandeurs, mais aussi de bassesses – je n’avais jamais autant de S, pas bon pour un scrabble ça !
Nous avons pu évoquer beaucoup de sujets qui concernent la politique fédérale :
Un sacré challenge pour un gars d’Hochelaga Maisonneuve !
Ah, faut que je vous dise un truc, il connait l’oeuvre de Marcel GOTLIB, le créateur de la Rubrique A Brac et de fluide Glacial ce n’est vraiment pas commun.
La caserne BEAUDRY est une ex-caserne des pompiers de Montréal, situé à l’angle Beaudry/Ontario. C’est un bâtiment public qui appartient à la ville de Montréal, et qui n’est plus occupé depuis quelques années.
Jean-louis Beaudry a été maire de Montréal de 1862 à 1866, de 1877 à 1879 et de 1881 à 1885. Issu du peuple rural québecois, c’est d’abord un homme d’affaires qui s’établit à Montréal en 1834 comme entrepreneur.
Mais c’est surtout un homme politique proche du mouvements des patriotes ( il sera amnistié au bon moment) qui aura une certaine influence au niveau municipal et dans notre quartier saint jacques car il en sera échevin avant de devenir maire de Montréal . Il sera , entre autre, à l’origine du développement des casernes de pompiers de Montréal.
Une rue, un parc, une ex-caserne de pompiers à l’abandon depuis des années, portent son nom. Nous y reviendrons .
Son parcours est intéressant car il montre bien a quel point le pouvoir politique a cette époque est dans les mains des entrepreneurs : commerçants, industriels ou artisans. Ceux ci développent la ville sur des terres autres fois agricoles, et cette nouvelle élite urbaine a remplacé celle des propriétaires terriens.
Comme écrit dans un article de radio canada , c’est apparemment très cher de la rénover a cause des règles sismiques. Ron Rayside le dit joliment, qui a son cabinet d’architecture juste en face, c’est une cloche de complexité !
C’est bien beau, mais pendant ce temps le bâtiment se délabre de plus en plus…
La caserne BEAUDRY semble être devenu un SQUAT ou une piquerie , il y a même de la lumière à l’intérieur ! Pour information, la caserne BEAUDRY est située à quelques mètres d’un site d’injection supervisé qui attire de nombreux dealers. Les usagers utilise un briquet, des allumettes ou même un foyer parfois, pour allumer leur pipe à CRACK ou faire chauffer des doses d’héroines…
C’est devenu CHAUD bouillant en quelques semaines dans CENTRE SUD. !!!!!
A suivre
Ca y est, c’est parti dans laurier-sainte marie ! Nous reviendrons dans ce post sur les avantages pour un acteur économiques ou culturels d’avoir un représentant à la chambre des communes, en toute impartialité, bien entendu.
Rencontre avec les candidats le 14 avril au pavillon ROBIN dans le parc Lafontaine
Nous commencerons tout simplement par un bilan de M.Steven GUILBEAUT, député sortant du parti libéral du Canada, avec une analyse statistique sur la dernière année de ses posts FB ! Que voyons nous pour les acteurs économiques de sa circonscription ? ABSOLUMENT RIEN
Sur une période de 1 an, les seules participations citoyennes de Steven dans CENTRE SUD concernent des associations qui bénéficient de fond public fédéraux ( exemple, le sac à dos) ou à des événements type nouvel an chinois ou la saint Patrick. Pas un mot sur les courses alimentaires qu’il fait dans le quartier, ou l’aide avec résultat qu’il eut put apporter à un commerçant . A se demander si il y en a dans la circonscription…
Bref, a part voter des lois rédigées par d’autres ou assister à des événements, c’est très léger, STEVEN n’est pas un tracteur Massey FERGUSON qui laboure son terrain…
NOTE = /20
Puis viendra l’analyse du programme du NPD avec Nima MACHOUF candidate pour la 3e fois dans la circonscription.
Sur son site de candidate, 3 bandeaux qui appelle a faire un don, s’impliquer avec l’équipe et poser des pancartes – C’est a peu prés tout avec la courte vidéo de Nima, passionnée d’aller à Ottawa. Sur le site du NPD, pas grand chose non plus pour les acteurs économiques et culturels de Laurier-Sainte Marie…sinon les grandes promesses habituelles du NPD pour plus de justice sociale.
NOTE = /20
Et enfin le Emmanuel LAPIERRE, petit dernier du Bloc Québecois qui nous vient de HOCHELAGA Maisonneuve
Lui, son truc, c’est qu’il a écrit un bouquin sur l’identité nationale. Il estime ” essentiel que Montréal puisse compter sur une voix forte à Ottawa pour défendre ses enjeux et ses priorités, dont les besoins en logement, en soutien aux plus vulnérables et aux aînés ainsi que favoriser les conditions permettant une immigration réussie.”
Pas grand chose, là non plus sur les acteurs économiques et culturels pourtant nécessaire à une identité forte. Il va falloir lire son livre.
Sinon à la page 21 du programme du bloc, le chapitre nationalisme économique avec cet extrait “Nous prônons une économie qui protège les consommateurs, et donc une
saine concurrence de marché.
Nous croyons que consommer des produits locaux encourage le travail des gens de chez nous tout en soutenant la transition écologique et énergétique,principal moteur économique des années à venir.
Nous soutenons l’économie québécoise, son noyau dur de PME ainsi que son aspect créatif et innovateur, en particulier en matière de technologies contribuant à la transition écologique.
C’est déjà mieux ! Le Bloc, c’est du LOURD .
NOTE = /20
Nous voulons un élu de terrain, qui soit à l’écoute dans sa circonscription car il NOUS représente officiellement à la chambre des communes. Des réunions publiques ou privés sur RV, dans la semaine, doivent être possible avec l’équipe de l’élu, mais surtout avec notre représentant . L’échange doit se faire dans les 2 sens, avec un élu qui nous explique sans langue de bois ce qui se passe à Ottawa.
Nous voulons être entendu sur les problématiques d’immigration, afin d’intégrer aux mieux nos travailleurs temporaires pour en faire de véritables citoyens. ET aussi aussi faire aboutir nos demandes pour avoir des travailleurs qualifiés.
ET encore plus pour la criminalité lié à l’économie de la drogue , car la priorité donnée par le fédéral pour éviter trop de de surdoses des usagers de drogues prédomine sur la sécurité de TOUS.Ce qui est néfaste à l’éducation de nos enfants et à l’économie locale en particulier.
On s’en tiendra la pour les candidats, car il y en a beaucoup qui ne seront pas élus, et pour nous, acteurs économiques et culturels, c’est l’élu qui compte !
Que cela motive nos candidats à offrir le meilleur d’eux même, et bonne chance .
Un texte à venir suite à une tentative de dialogue avec le SIS ANONYME qui s’est conclu par la menace de mort de se faire trancher la gorge par un usager . Une plainte a été déposé. J’ai surtout le sentiment d’avoir été mené dans un traquenard, que le camion n’était pas la par hasard et que cet incident était prémédité vu l’attroupement qui était devant l’autre SIS fixe . Depuis le SIS ANONYME continue ses provocations vis a vis des acteurs économiques de la rue.
Il n’existe aucun organe de médiation
Ville Marie est le seul arrondissement de Montréal qui n’a pas de maire
Le conseiller du district SAINT JACQUES est un ancien dirigeant d’OBNL a vocation sociale
D’autant plus que le directeur général du SIS ANONYME à la date du 15 mars 2025 est absent pour une durée indéterminée, et que le service d’injection de ce site mobile est INDIQUE être ouvert de 22h30 à 5h du matin selon le CIUSS Centre-sud…
Que fait exactement le CIUSS Centre Sud qui a pour mission la sélection et la bonne gestion des SIS ?
“Nous avons pris connaissance de votre courriel concernant les relations avec le Service de consommation supervisé (SIS) mobile de l’Anonyme. Il est inexcusable que des menaces de mort soient proférées, le SPVM pourra faire son travail d’enquête pour y répondre, comme à tout autres enjeux liés à la sécurité.
Il importe de rappeler que les Services de consommation supervisée (SIS) permettent de réduire les surdoses mais également de réduire la consommation dans l’espace public. Les SIS s’efforcent d’assurer un bonne cohabitation autour de leur installations.
Pour ce qui est des communications avec l’Anonyme, vous pouvez contacter l’administration de l’organisme (514-842-1488) qui pourra vous référer à la personne qui remplace M. Mxxxx pour faire part des enjeux.”
C’est une 1er réponse. Mais que c’est léger comme réponse pour une question aussi cruciale pour la sécurité de tous !
Cela devient difficile d’être un commerçant dans le quartier centre sud !
On ne veut pas s’inviter dans le débat sur l’usage des drogues, mais on vous invite à voir cette série de reportages sur la chaine ARTE
Le problème, c’est que les décès par surdose continue d’augmenter chaque année malgré les politiques de santé mis en place, on reste cependant est loin des volumes de l’ouest canadien ou des USA.
Or la politique mis en place pour gérer ces surdoses à une très forte incidence sur le milieu de vie des résidents de Montréal . Pourquoi ? Car les impacts sociaux de TOUTES les autres parties concernés ( Police, Résidents, Commerçants, écoliers, pompiers, ambulanciers, etc..) ne sont pas qualifiés et encore moins quantifiés….
Par exemple, on sait par la santé publique que les interventions des 1ers répondants ont DÉCUPLÈ en 4 ans, quelle charge représente cette augmentation sur le réseau de santé ?
Idem pour la vérification des substances dans un site fixe ( c’est une mesure qui a été créé au départ pour les événements festifs), cela ne va t il pas créer un point de deal PERMANENT et quasiment OFFICIEL a proximité du SIS, le dealer venant faire vérifier sa dope avant de la vendre ?
Cette politique qui fonctionne peut être très bien en situation de crise, devient beaucoup plus difficile à mettre en œuvre sur de longues durées.
C’est comme le petit caillou dans la chaussure du randonneur, c’est supportable au début, mais ça devient vite un handicap contre productif….
On comprend mieux pourquoi les SIS cristallisent toutes les passions car :
Personne n’en veut dans sa cour…seuls quelques élus issus du monde de l’assistance sociale sont motivés et prêt a instrumentaliser les sous traitants de la santé publique…soit par calcul, soit par idéologie.
Ils sont le reflet de notre passivité pour ce qui touche à l’accès aux soins des plus démunies
L’économie de la drogue est omniprésente dans ce dispositif, puisque la dope ou son substitut n’est pas fourni
Personne n’y est soigné pour son addiction, c’est fait pour éviter les surdoses, pas pour éviter leur renouvellement.
Parce que cette politique cible les itinérants, dont un grande partie (x % ?) sont des usagers de la Drogue. L’itinérance c’est une communauté nomade, avec beaucoup de membres qui ont des problèmes de santé mentale, et qui partage la rue avec les résidents et les commerçants, générant des GROS problèmes de cohabitation : Attroupement sur le trottoir, campement dans les porches, injection dans la rue, inhalation de crack sur les marches des habitations, cris et comportements inhabituels, déchets en grand nombre dont des seringues, course en vélo sur le trottoir, déjections humaines sur le trottoir, uriner en direct live sur le trottoir, tasse de café renversées et jetées, présence de dealers avec échange d’argent en pleine rue, etc.
Tout un non respect des règles communes , toléré par la ville de Montréal, donc la police.
Ce sont surtout des incivilités, mais tellement quotidiennes, qu’elles en deviennent insupportables pour certains résidents d’un quartier normal , et qui se sentent tout seuls face à des marginaux qui finalement ne demandent pas a être aussi antipathiques !
En introduction, quelques chiffres de l’organisme CDC CENTRE SUD : Il y a 40500 personnes dans centre sud d’après le recensement de 2021 – Nous allons essayer d’imaginer les impacts sociétaux de Faubourgs Montréal sur le quartier centre sud et de TOUTES ces nouvelles constructions qui se situent principalement place Dupuis, puis au sud et à l’est du quartier.
Il y a beaucoup de TOURS résidentielles ! C’est un changement majeur dans le quartier CENTRE SUD qui va se produire
Un article de la Presse du 16 avril 2025 sur ce chantier aux milliards de $…
FORTE densité – TRÈS grandes hauteurs – Esthétique minérale, on se doute que la composition sociale du quartier CENTRE SUD va changer ….
Certes ce sont des ilots ou grands ensemble , ils n’y a pas toujours de mitage du bâti historique (et pour cause, il a été détruit voici longtemps ou va être détruit…)
Mais on peut imaginer que la population de CENTRE SUD va changer et au moins doubler en 3 ans !
Qu’est il prévu pour le transport ou l’achalandage alimentaire ou les lieux de divertissements dans Faubourgs Montréal ?
Quel est le niveau de vie de ces nouveaux habitants, et qu’en est il de ses habitudes de vie ?
La nouvelle population de Faubourgs Montréal va t elle rester tranquillement dans ses ilots ou va t elle se déplacer vers le Village ou la rue Ontario ?
TOUR Émilie Gamelin (place dupuis) : 176 logements – 16 étages à 119 m
862 rue sainte Catherine ESt – 14 étages
Ilot VOYAGEUR = 1030 logements
Le 801 MAISONNEUVE EST : 50 logement + 1 HOTEL 80 Chambres
HILTON 819 Maisonneuve EST : 86 Chambres
Esplanade CARTIER : Jusqu’à 21 étages – 200 logements
ilot BARSALOU : Tour de 21 étages – 243 logements
Auguste et Louis (autour de l’ancienne tour radio canada) – 487 logements construits
INTERLOGE : 130 logements sociaux
MOLSON – 3200 logements
CHAMPLAIN : 230
SOURCES = AGORA MTL
Une belle rencontre citoyenne s’est tenue hier à l’UsineC sur le projet de rénovation de l’avenue Lalonde, en présence des résidents du quartier, des équipes techniques de Ville Marie et de Sophie Mauzerolle notre conseillère du district Sainte Marie,soit une trentaine de personnes
Au yeux des services techniques, la rénovation se justifie par la mise aux normes de la rue, en particulier les trottoirs et l’éclairage public, en plus de mettre à niveau par chemisage le réseau d’égout (qui date du 19e siècle). La ville en profitera pour embellir la rue avec des arbres, des plates bandes et du mobilier urbain. La vitesse des voitures ne dépassera pas 20 Km/h.. Les travaux seront de soixante jours de juillet à aout 2025, il n’a pas été précisé leurs impacts sur les riverains –En résumé
Les contre
Les pour
La majorité des intervenants a salué cette présentation, certains applaudissant ( au figuré) la suppression des stationnements, la création des espaces verts ( les arbres en particulier, avec un bémol pour les plates bandes) et l’aménagement du mobilier urbain avec une balancelle. La rue berthier a été cité comme un exemple à suivre par un intervenant.
Les améliorations demandés
Travailler plus sur le mobilier urbain qui ne doit pas être un lieu de “fumerie” de pot ou de beuveries, ajouter des ralentisseurs pour la sécurité des piétons et cyclistes, garder des places de stationnement, préserver son caractère à la rue Lalonde qui est plus un lieu de résidence qu’un lieu de passage (même si la rue est à tout le monde, expression qui veut rien dire et tout dire à la fois…soyons lucide, voyons ! )
Quelques remarques non exprimés (beaucoup d’intervenant, peu de temps)
Garder un stationnement continu avec vignette et sans vignette ( payant ?) pour une (1) seule journée (afin que les invités et travailleurs de nuit puisse se stationner ) tout au long du coté SUD afin de faciliter la vie des résidents et apporter un peu de vie à la rue (paradoxalement, c’est visible rue Berthier, l’absence de voiture crée un vide spatial.) Cela permet aussi de créer une distance avec les appartements du rez de chaussé comme actuellement.
L’UsineC ne s’est pas exprimé au cours de cette rencontre
Une seule vue d’artiste a été exposé : de l’ouest vers l’est. Les couleurs et les matériaux n’ont pas été précisé . Si c’est comme la rue Berthier, le gris prédomine… surtout en hiver, avec des bâtiments assez hauts et plutôt sombres, et une rue orientée EST_OUEST
Une suggestion : se revoir avec des nouvelles vues d’artistes et le designer à la retraite !
Ça y est, accroche ta tuque, pauvre commerçant, résidant ou simple passant ! les travaux sur le collecteur égout rue Ontario entre Berry et saint André entrent dans leur phase EXPLOSIVE !!!
Mais bon, les commerces restent accessibles (a pied, style parcours du combattant) pendant les travaux qui vont durer plusieurs mois …, il y a déjà 2 boutiques qui ont plié bagage !!!
D’ailleurs sur la rue Berry, entre Maisonneuve et Ontario c’est aussi l’enfer pour tous les hôtels (qui restent accessibles …en hélicoptère ?)