c’est la question fondamentale qui se pose à nous quand on voit la richesse humaine et historique de notre quartier .
les acteurs les acteurs de centre sud sont nombreux, mais lesquels sont légitimes pour participer à ce débat ? Est ce que ce sont qui y habitent ou ceux qui en tirent profit sans le faire vivre…
les dangers existants
la non gestion du comportement civique des usagers de la drogue, avec des individus bizarres qui viennent s’y agglomérer …
les travaux de la ville, présentés comme nécessaires pour notre confort, mais qui durent beaucoup trop longtemps (source de bruit, d’interdiction de stationner, de coupure d’eau et d’électricité, de présence de camions de chantier) . la ville elle même qui remodele le milieu urbain avec des promoteurs immobiliers qui ceinture au sud de grands ensembles. A cela s’ajoute une politique de vie qui privilégie le tourisme ( pas encore dans notre
résultat : Les résidents ne se sentent pas respectés, et vivent mal ces grands moments d’éternité
les points forts de centre sud
notre bâti patrimonial dont l’ossature visible de tous est la belle porte cochère de centre sud
Notre habitat social ( logements sociaux, Coop, , autres, etc…) qui assure une mixité humaine incomparable
un grand nombre d’organismes communautaires, dont certains parfois dépassent largement leur mission originale …
une mixité propriétaires vs locataires qui fonctionne
de nombreux petits parcs pour les enfants, les sportifs et les propriétaires de chiens
il y a quelques jours nous avons pu observer un individu qui avait un comportement atypique rue Ontario . Vous allez me dire qu’avec les usagers de drogue, nous avons beaucoup de comportement atypique dans notre quartier. D’ailleurs c’est quoi un comportement atypique ? un individu qui crie sans raison, ou qui circule en vélo sur le trottoir, ou qui s’injecte sur le trottoir des substances dans le corps, ou qui fume du crack ou etc etc…
Pas seulement, c’est aussi une personne qui n’a rien à faire là où il est. En l’occurrence ce type ne faisait rien de mal, il semblait pas méchant, il restait planté la, à observer on ne sait trop quoi, toujours dans la même direction, vers la rue de la Visitation
t-shirt de l’ASCCS
ce qui était curieux c’est qu’il portait des t-shirt noirs ou rouge, comme ceux que portent les animateurs du centre communautaire voisin. Un beau jour, il s’est rapproché physiquement de ce qu’il observait, il a regardé à travers les vitres de la maison soleil, un organisme qui aide à scolariser les enfants de milieux défavorisés issus de notre quartier.
Alors j’ai pris mon courage à 2 mains, et je suis allé vers lui. Je lui ai demandé ce qu’il faisait la dans la rue, si il avait un soucis particulier et si je pouvais l’aider . Il me répondait à chaque fois que tout était correct . Je lui ai dit que nous étions très attentifs à nos enfants, et que nous y faisions attention. Il n’a rien dit et il est parti.
je ne l’ai plus revu après cela
j’en ai parlé avec une responsable de la maison soleil, elle l’avait aussi remarqué et nous avons décidé ensemble de faire plus attention.
Les rumeurs couraient dans le quartier depuis un moment : Le SIS spectre de rue allait compléter son offre d’injection des drogues par une offre d’inhalation des drogues augmentant ainsi sa fréquentation ! Le déménagement de TAPAJ dans le nouveau bâtiment construit spécialement pour eux un peu plus à l’ouest , à côté de la brasserie du cheval blanc libérait déjà de l’espace.
On se disait que non, il n’allait pas accroître la fréquentation d’usagers de drogues dans un quartier résidentiel, près des commerces, des écoles et du centre communautaires ! Et bien si, la santé publique persiste dans sa politique inepte, malgré toutes les critiques que ce SIS accumule depuis plus de 8 ans .
C’est vraiment une terrible nouvelle pour le quartier .
c’est encore pire que ce qu’on s’imaginait, puisque c’est une nouvelle construction ( mais avec la plantation d’un arbre dans le tout petit espace qui restera…, cela répond à la stratégie Montréal 2030 ! ) payée par nos sous de la santé publique qui est prévu !
Site d’inhalation de drogues
Et bien c’est officiel depuis le dernier conseil d’arrondissement, une demande d’exemption au réglement d’urbanisme a été accordé par nos élus pour construire dans la cour arrière un batiment pouvant accueillir des fumeurs de crack dans un milieu résidentiel.
Pas d’issue de secours
Valerie Plante à présenté cela comme une extension, ce qui évite un certain nombre de problème réglementaire comme celle de l’issue de secours dans la cour arrière qui débouchera sur un mur !
Impacts des travaux avenue Lalonde sur les rues avoisinantes
Rues barrés et stationnements réduits : aux résidents et visiteurs de se débrouiller !
Coupures d’électricité
Suite alerte au gaz due aux travaux (?), coupure de 11h45 à 16h45 le jeudi 03 juillet, les pompiers sont venus stationner rue de la visitation pendant et après le rétablissement du service par HQ.
Coupure d’eau
Le 07 juillet toute la journée dans le voisinage . Le rétablissement de l’eau par les services municipaux (?) a provoqué un coup de bélier dans tous les tuyaux des alentours : l’USINE C a eu une rupture de canalisation, et notre lave vaisselle est hors service…
Dégâts collatéraux divers
15 juillet 2025 – Un voisin a vu toute ses plates bandes détruites par le passage d’un camion de chantier.Un courriel a été envoyé le 17 juillet à Robert Beaudry, le conseiller du district Saint Jacques dans Ville Marie
Toute cette énumération a un but
Informer sur ce qu’il se passe vraiment pendant des travaux de longue durée, car cela a un impact énorme sur notre vie de quartier, tout en étant sous estimé par la Construction et la municipalité de Montréal. (La Construction avec un grand C est une entité floue non définie, composée d’engins de terrassement pilotés par des individus qui ont des grosses chaussures…)
Hyper-Centre SUD
Cela va nous permettre de parler du devenir du quartier vu par ses résidents, et du concept d’hyper CENTRE-SUD que la ville de Montréal nous prépare, a l’instar d’autres villes touristiques dans le monde.
L’église catholique au Québec a longtemps rayonné, accompagnant les colons francophones sous le joug anglais, favorisant les familles nombreuses jusqu’à 10 enfants et plus. Et puis un beau jour du printemps 1967, toutes les églises se sont vidées, et seule une minorité de croyants subsistent aujourd’hui. La hiérarchie catholique est exsangue, vieillissante et a été coupable de tant d’abus qu’elle n’est plus respecté. Il lui reste un parc foncier conséquent.
Cependant l’église n’existait pas que pour dire la messe le dimanche, elle avait aussi des missions, dont les soins de santé et l’assistance aux plus démunis. Or la nature a horreur du vide, et ces missions il a bien fallu que des nouvelles organisations (dont les SIS ou site d’injection supervisé) les assument.
La santé publique ou CIUSS
Pour les soins, c’est la santé publique de nos jours, avec le concours de la médecine hospitalière. Pour l’assistance aux plus faibles, c’est aussi la santé publique, mais comme donneur d’ordre. L’originalité de cette assistance c’est qu’elle est sous traité à des OBNL, qui sont des associations a but non lucratif, et dont la mission est inscrit dans leurs statuts.
La ville de Montréal
Complétement dépassée par le événements lié à l’économie de la drogue, elle approuve toutes les décisions de la santé publique, au mépris de la sécurité et des conditions de vie des résidents voisins des SIS, alors que les règles élémentaires d’hygiène ne sont même plus respectées. Elle en est à approuver des aménagements dans les SIS pour y établir des sites d’inhalation, concentrant davantage d’usagers des drogues, et favorisant des rejets de substance dans l’atmosphère.
SIS ou site d’injection supervisé
Le SIS, c’est un site d’injection . Le personnel assiste les usagers de drogues. Sa mission est d’éviter les overdoses, afin de faire baisser les statistiques de mortalité .
Dans le cas des SIS, la santé publique de Montréal s’est appuyé sur des OBNL existantes , qui travaillaient sur la non transmission du virus du SIDA, la récupération de seringues ou la population itinérante.
Changement de mission
La plupart des ces OBNL étaient en perte de vitesse car situées dans des quartier dont la population avaient beaucoup changé. Or la santé publique n’a pas eu d’autre choix que de créer des SIS, car c’était une décision politique nationale, d’autres provinces avaient déjà commencé, en particulier la CB. Elle n’a pas eu le choix non plus des OBNL, elle a pris les 2 ou 3 qui étaient volontaires il y a 8 ans au Québec, en fermant les yeux sur les questions de sécurité ou de cohabitation avec les résidents , sans aucune concertation avec la population.
Les élus locaux de Montréal sont pour la plupart issu de ce monde de l’assistance sociale.Ils ont favorisé ce changement de mission des OBNL pour des raisons électoralistes, et la communication du parti libéral du Canada,qui a fait voter cette exemption à la loi fédérale, a fait le reste .
Elle a payé la réfection des locaux des OBNL, et assure maintenant financièrement une partie des subventions (puisque par définition, ces OBNL ne font pas payer leurs prestations)
Le Fentanyl, Opium du peuple
Et voila comment finalement, et pour paraphraser Marx – la religion c’est l’opium du peuple – on reconstitue une nouvelle église dont l’Opium ou ses dérivées comme le Fentanyl, est la seule religion !
Que les âmes sensibles s’abstiennent de lire cet article ! Il concerne une population historique, méconnue, souterraine presque tabou des villes, celle des rats… !
Compétiteur féroce de l’être humain, il partage avec lui beaucoup de points communs, mais bon, vous nous connaissez nous ne sommes pas la pour parler philosophie…
Nous nous bornerons a résumer les ravages de cette bébette, et à énumérer les moyens de réguler ce fléau (faut pas rêver, éradiquer, c’est pas pour demain)
Rat 1Rat 2
Pourquoi des rats à Montréal ?
Les rats sont partout présents avec l’Homme, en pils se nourrissent de nos déchets et vivent dans des milieux humides et souterrains comme les égouts, a l’instar du rat brun de Norvège, espèce la plus commune à Montréal. Il est admis que les rats sont dérangés par les nombreux travaux souterrains gérés par la ville de Montréal, et se propagent dans les bâtisses par les drains de collecte brisés ou non pourvus de clapet.
Les ravages des rats
C’est surtout dans les commerces alimentaires qu’ils vont se nourrir, en particulier dans les stocks protégés ou non, en sous sol ou aux étages. Les rats sont capable de ronger un carton en quelques secondes, ou une caisse en plastique en quelques minutes, et il faut ensuite tout jeter pour des raisons d’hygiènes . Difficile de conserver 20 poches de farines ou des caisses de chocolat, je ne vous parle pas des noix de Grenoble, dans ces conditions !
Régulation des rats?
Tout d’abord, il faut rappeler qu’il est difficile de mettre en place un système de régulation sans indicateurs statistiques. Or peu de chiffres sont disponibles : Montréal ne semble avoir aucune étude scientifique sur le sujet, aucune cartographie précise par quartier, et surtout l’administration compétente sur ce sujet ne semble pas exister. Un peu comme d’autres populations, c’est un moyen pour la ville d’exister en faisant du blabla sans résoudre quoi que ce soit.
Pour résumer, Espace public = 311, Résidences ou commerces = propriétaires qui appellent des exterminateurs.
Déjà, on comprend pourquoi il y a autant de rats, puisque la responsabilité est partagée sans aucune coordination !
Il est généralement admis que la présence des rats est facilité par un drain d’égout brisé, ou d’ancien drain d’égout non bouché efficacement.
Les exterminateurs
Ils sont incontournables, car la ville refuse d’endosser la mondre responsabilité sur un terrain privé, comme si les rats ne se déplacaient pas…
Ils apportent des moyens : poisons ou trappes, mais pour le résultat c’est juste une garantie de conseil (genre : boucher les trous dans un mur ou fermer sa poubelle) . On se méfie a raison ce certains d’entre eux, qui vivent sur le dos de la bébette…
La MAPAQ
Elle constate les dégâts, et vous dis de boucher les trous et mettre la nourriture dans des boites
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PAR soi même
C’est une des solutions la plus efficace ! Encore faut il choisir le bon appât ( du beurre de peanut ou d’une noix quelconque) , savoir armer une trappe piège ressort (marque VICTOR) sans se prendre la tape sur les doigts, puis choisir un emplacement judicieux. Positionner plusieurs trappes dans chaque coin de la piéce
Il faut ensuite penser à vérifier chaque jour si cela a fonctionné, il nous est arrivé en temps de crise d’en attraper 6 dans six trappes différentes en 1 seule journée.
A Montréal, tous les poins de rue doivent être dégagés pour le stationnement ET pour l’arrêt sur une longueur de 2 voitures a peu prés (5m) . C’est censé dégager la visibilité lorsque un véhicule tourne ET empêcher une marche arrière du véhicule qui recule vers le coins pour se dégager du stationnement. Cela afin d’assurer la sécurité des piétons qui veulent traverser en dehors des passages piétons… ET a Montréal, il y a beaucoup de coins de rue !
Nous allons bien entendu commencer par démontrer l’absurdité d’appliquer cette régle à tous les coins de rue, avec un contre exemple . On le voit bien sur les 2 photos du haut
Une rue a sens unique qui croise une autre rue à sens unique – les panneaux d’arrêt ne servent a rien puisque aucun véhicule venu des 2 rues ne peut tourner au coin ou reculer vers le coin dégagé …
Cela devient compliqué pour les résidents qui ont une voiture mais pas de garage ! Cela signifie t il que chaque condo devra avoir une place pour son char, et que toute les habitations sans stationnement devront disparaitre ? Avec tous les travaux qui ont lieu, ça ne facilite pas la vie des résidents et des acteurs économique de centre Sud
De plus l’avenue LALONDE est planifié pour rénovation cet été, avec comme objectif la suppression des places de voiture de chaque coté de la rue. Certes, ce sera peut être plus joli autour de l’USINE C, mais pour venir en voiture, ce sera bientôt le centre ville de Paris !
Stationnement à Paris
Impacts
Il faudra bien un jour se poser la question des impacts sur les résidents, les visiteurs, les travailleurs et les acteurs économiques et culturels
Nous avions parlé des élections fédérales avec Steven Guilbeaut, Nima Machouf et Emmanuel Lapierre, voici quelques temps sur un post d’actualités.
ET bien, ça n’a pas tardé, nous avons pu rencontrer un candidat en personne dans notre quartier de CENTRE-SUD : c’est à dire, Emmanuel LAPIERRE, candidat du Bloc Québecois, pour la circonscription de Laurier-Sainte Marie.
Emmanuel LAPIERRE, la tête dans l’épicerieEmmanuel Lapierre, avec le BoucherEmmanuel LAPIERRE, avec le Boulanger et la Présidente
Tout d’abord, je dois vous dire que nous ne sommes pas la pour faire la publicité d’un programme. C’est l’humain qui nous intéresse. Cela tombe bien car Emmanuel LAPIERRE est une personne extrêmement sympathique, pas du genre à vous faire sentir mal à l’aise. On est tombé sous le charme, en plus il fait du vélo, été comme hiver, mais avec des pneus à clous
Ce n’est pas un politicien, ou une personnalité publique, c’est un vrai pti’cul de Montréal qui s’est engagé dans cette campagne à la demande du chef du bloc YF Blanchet, et a pris un temps de réflexion avant de dire oui.
Une campagne électorale ce n’est pas rien, la lutte sera féroce, pleine de grandeurs, mais aussi de bassesses – je n’avais jamais autant de S, pas bon pour un scrabble ça !
Nous avons pu évoquer beaucoup de sujets qui concernent la politique fédérale :
Les filières nationales de formation à la gestion des entreprises autonomes. Notre but estde pouvoir créer et maintenir un réseau de proximité pour la production locale et la vente aux particuliers dans la rue Ontario
L’accès à une nourriture de qualité et variée fournie par une agriculture financé par le fédéral. Grace aussi à des réseau de transformation et de distribution agro-alimentaire qui seraient soutenus au niveau national et provincial.
La conservation des habitats historiques, en particulier dans notre quartier de CENTRE-SUD, les maisons avec portes cochères.
La gestion de l’itinérance par des outils nationaux qui prennent en compte les impacts sur les lieux où s’installent des sites d’injection ou d’hébergement, trés nombreux dans CENTRE-SUD
Un sacré challenge pour un gars d’Hochelaga Maisonneuve !
Ah, faut que je vous dise un truc, il connait l’oeuvre de Marcel GOTLIB, le créateur de la Rubrique A Brac et de fluide Glacial ce n’est vraiment pas commun.
La caserne BEAUDRY est une ex-caserne des pompiers de Montréal, situé à l’angle Beaudry/Ontario. C’est un bâtiment public qui appartient à la ville de Montréal, et qui n’est plus occupé depuis quelques années.
Qui est BEAUDRY ?
Jean-louis Beaudry a été maire de Montréal de 1862 à 1866, de 1877 à 1879 et de 1881 à 1885. Issu du peuple rural québecois, c’est d’abord un homme d’affaires qui s’établit à Montréal en 1834 comme entrepreneur. Mais c’est surtout un homme politique proche du mouvements des patriotes ( il sera amnistié au bon moment) qui aura une certaine influence au niveau municipal et dans notre quartier saint jacques car il en sera échevin avant de devenir maire de Montréal . Il sera , entre autre, à l’origine du développement des casernes de pompiers de Montréal. Une rue, un parc, une ex-caserne de pompiers à l’abandon depuis des années, portent son nom. Nous y reviendrons . Son parcours est intéressant car il montre bien a quel point le pouvoir politique a cette époque est dans les mains des entrepreneurs : commerçants, industriels ou artisans. Ceux ci développent la ville sur des terres autres fois agricoles, et cette nouvelle élite urbaine a remplacé celle des propriétaires terriens.
Raison d’un échec
Comme écrit dans un article de radio canada , c’est apparemment très cher de la rénover a cause des règles sismiques. Ron Rayside le dit joliment, qui a son cabinet d’architecture juste en face, c’est une cloche de complexité !
C’est bien beau, mais pendant ce temps le bâtiment se délabre de plus en plus…
La Caserne Beaudry poursuit sa chute : risque d’incendie !
La caserne BEAUDRY semble être devenu un SQUAT ou une piquerie , il y a même de la lumière à l’intérieur ! Pour information, la caserne BEAUDRY est située à quelques mètres d’un site d’injection supervisé qui attire de nombreux dealers. Les usagers utilise un briquet, des allumettes ou même un foyer parfois, pour allumer leur pipe à CRACK ou faire chauffer des doses d’héroines…
C’est devenu CHAUD bouillant en quelques semaines dans CENTRE SUD. !!!!!
un sac devant une porte à l’arrière de la caserne BeaudryUn squat depuis début marsligne d’attente d’usagers de bus a coté de la ligne d’usagers de drogueUn squat dans la rue, depuis mi-mars ,face à la caserne beaudryMessage sympathique à l’attention d’usagers de drogues ?